Le pilotage scientifique et technique du projet GRIF est assuré par deux comités :
- le comité scientifique, composé d’un représentant pour chaque laboratoire membre et du responsable du groupe technique :
- Frédéric Derue pour LPNHE, responsable scientifique
- Federico Ferri pour l’IRFU, responsable scientifique adjoint
- Michel Jouvin responsable technique
- Jean-Baptiste Sauvan pour le LLR
- Cécile Cavet pour l’APC
- Christophe Suire pour IJCLab
- le comité technique, composé de l’ensemble du personnel en charge de la gestion technique du projet. Son responsable est Michel Jouvin de l’IJCLab
Les équipes de chaque laboratoire se rencontrent périodiquement pour faire le bilan des actions en cours et planifier les actions à venir. Elles ont chacune leur responsable technique. Des déplacements ponctuels se produisent également dans le cadre de l’entraide et de formation interne sur certains aspects techniques. Les outils modernes de déploiement, de monitorage et de publication des ressources sont mis en œuvre de façons centralisée sur des serveurs gérés en commun afin d’éviter la duplication inutile des efforts, tout en veillant à ne pas introduire de point faible unique dans le système. Les équipes techniques ne sont donc pas juxtaposées, mais constituent une seule équipe solidaire et structurée par le comité de pilotage technique.
Les représentants scientifiques de chaque laboratoire se réunissent au moins une fois par trimestre pour évoquer les aspects financiers et de fonctionnement du projet. Ils désignent un responsable de projet pour une durée d’un an renouvelable, dont le rôle sera la représentation du projet au niveau WLCG et EGI. Les représentants scientifiques auront à charge de veiller à l’esprit d’ouverture du projet. Ils doivent aussi s’assurer que les ressources sont allouées conformément à l’origine des financements et aux choix fait par les laboratoires concernant les différents groupes d’utilisateurs.
Les laboratoires ont en charge de déployer les ressources acquises et de fournir les infrastructures et les installations indispensables au fonctionnement du matériel tel que les réseaux, l’alimentation électrique, la climatisation … Les frais de fonctionnement et le financement de l’augmentation de la capacité d’accueil des salles machines sont à la charge des laboratoires.